Les Smartphones et autres appareils à écran font partie intégrante de notre vie quotidienne. Avoir un appareil high-tech est devenu, de nos jours une nécessité. Le plus étrange serait de ne pas en avoir. Et pour cause, plus que de simple appareil de télécommunication, ce sont de véritable assistant dans les différentes tâches quotidiennes. Et bien plus encore, actuellement, grâce aux offres mobile money, les Smartphones font aussi office de portefeuille. Cependant, cette addiction pour le monde virtuel devient de plus en plus inquiétante. Si pour les personnes d’un certain âge, l’utilisation des appareils de ce genre n’est pas sujette à problème, dans la mesure où ils savent mettre des limites, pour les plus jeunes, la question se pose encore.
Une immersion totale dans le monde virtuelle
Des tests ont prouvé que l’addiction aux écrans est bel et bien un phénomène grave. Récemment, des chercheurs dans les différents pays du monde se sont lancés dans une étude approfondie de cette pathologie. Les résultats sont sans équivoques. Les jeunes, complètement absorbés par leur écran, ne voient plus leur entourage. On aura beau remplacer ses parents et ses frères et sœurs par de total inconnu, changer du tout au tout la décoration de la pièce, ce n’est que quand le WiFi a été coupé qu’ils ne s’en sont rendu compte.
Pour les parents, la facilité d’accès aux écrans rend la crise de l’adolescence un peu plus difficile à vivre. Outre d’être plus violent, les enfants coupent toute communication absorbée par le monde virtuel : réseaux sociaux, vidéo en tout genre et bien d’autres.
Et il n’y a pas que les écrans de tablette et de Smartphone qui posent problème. Les TV de plus en plus grandes, les ordinateurs portables ou non sont également sujet à problématique dans les familles.
Une thérapie est nécessaire
Cette addiction aux écrans fait le buzz actuellement. Les psychologues tirent chacun leur tour la sonnette d’alarme. Mais pour ceux dont la situation est déjà problématique, une thérapie pour se débarrasser de cette addiction est nécessaire. En effet, cette pathologie n’a rien de bien différent des autres dépendances. Il faut suivre un cursus précis pour s’en débarrasser.
À titre d’information, près de la majorité des enfants de moins de 16 ans sont victimes de cette dépendance high-tech dans le monde. Et contrairement aux idées reçues, les plus jeunes, fans de dessins animés et de jeux, sont les plus atteints.
